aramacao
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Mercredi 16 septembre 2009 à 15:49
Jeudi 10 septembre 2009 à 21:15
J'aime bien me sentir fiévreuse ; mon visage est brûlant alors que mes mains sont glacées. J'ai l'impression d'être dans une bulle, comme coupée du monde. Je dois dire que ce n'est pas plus mal en ce moment - parce qu'en ce moment, on a la fâcheuse tendance de s'acharner sur moi. Mais ceci ne va pas durer - du moins je l'espère vraiment. Dans 21 jours j'aurai mon "indépendance". Peut-être pas financière, mais au moins, je n'aurai plus à vivre ici. Je ne comprends pas leur logique : ils ne me supportent pas quand je suis là, et pourtant ils ne me donnent jamais le droit de partir. Etrange. Ils ont peut-être besoin d'une tête de turc qui sait. En tout cas ils se défoulent bien ; le moindre prétexte est bon à prendre. La coupable idéale. Et après ils se demandent qu'est-ce qui cloche dans ma tête. Ca me paraît plutôt évident...
Peut-être pas pour tout le monde en fin de compte.
« Wouf ? »
Photo : Pépite ♥
Mercredi 26 août 2009 à 23:52
Waw ! Le changement opère apparement... Moi et la sociabilité commençons à nous entendre. Finalement on dirait qu'elle m'aime bien. Je perdais un peu espoir mais les miracles existent en fin de compte !J'aime bien faire de nouvelles connaissances. On rencontre toujours des gens intéressants, surprenants même parfois. Drôles, gentils, lourds, mignons, tarés, shootés... Qui nous marquent ou qu'on préfère oublier. D'autres que l'on n'oublie pas.
D'autres que l'on revoit après un certain temps sans nouvelles, avec qui on fait des plans à l'arrache, au feeling parce que c'est le mieux. Avec qui on retrouve cette complicité, avec qui on aime toujours délirer. Que l'on connaît depuis le berceau et avec qui on a grandi. « Nos parents nous ont obligé à nous supporter - mais y a quelque chose qui a foiré non ? ». Peut-être bien, mais on est toujours là.
Heureusement qu'il y a des choses qui ne changent pas. Ou du moins, qui ne tiennent pas compte du changement.
Antton Eva Marion PN ♥ On est VIP.
Lundi 27 juillet 2009 à 23:01
Boire. Danser. Taxer. Tomber. Rire. Chanter. Parler. (trop parfois)
Et ça ne fait que commencer !
photo : Nere Popote & Fiso sur le rond point de Bidache-City.
Et ça ne fait que commencer !
photo : Nere Popote & Fiso sur le rond point de Bidache-City.
Jeudi 9 juillet 2009 à 16:00
Ca y est ! L'été commence véritablement.
Plus d'exams ni de concours à passer car :
- admise au bac mention BIEN
- reçue en prépa à l'école d'art
ça c'est fait.
HAPPY :D
Plus d'exams ni de concours à passer car :
- admise au bac mention BIEN
- reçue en prépa à l'école d'art
ça c'est fait.
HAPPY :D
On fête ça tout l'été ?
Dimanche 21 juin 2009 à 15:54
Ca fait longtemps que j'avais pas dessiné.
'Faut dire qu'avec le BAC, ça ne me laisse pas beaucoup de temps.
(la bonne nouvelle : je ne ferai plus jamais de physique-chimie et d'SVT de toute ma vie)
Je suis quand même assez fière de moi sur ce coup là :
Est-ce que je vais réviser ?... Bof.
Vendredi 12 juin 2009 à 23:59
Trois ans passés entre ces murs, trois ans à vivre avec ces personnes, trois ans durant lesquels j'ai grandi, mûri, appris, j'ai fait des erreurs & j'en ai tiré des leçons, j'en ai bavé aussi mais ça c'est la vie. Et maintenant c'est la fin, le début de la fin. Le début de l'été, le début de l'après. L'après qui je l'espère se passera avec les mêmes personnes malgré les changements qu'il y aura, les changements qu'il y a déjà. Je commence à revenir même si ça me demande beaucoup d'efforts. J'espère seulement que cette dernière épreuve à passer ne les réduira pas à néan.
J'ai aimé cet arrosage de bibouls en incognito, cette raclette en espagnol, le gâteau au chocolat d'Iris (miam miam !), ainsi que tous les bons moments qu'il a pu y avoir depuis trois ans. Je garde de la place pour les prochains.
J'ai aimé cet arrosage de bibouls en incognito, cette raclette en espagnol, le gâteau au chocolat d'Iris (miam miam !), ainsi que tous les bons moments qu'il a pu y avoir depuis trois ans. Je garde de la place pour les prochains.
Always love you <3
Samedi 18 avril 2009 à 21:27
Un rabat wc en guise de collier.
Une auréole tellement lourde qu'elle fait 10 tours et te tombe sur les épaules.
Un allumage d'extincteur en pleine rue déjà désertée par les buveurs de la soirée.
Des rencontres étranges et marquantes.
Paula est contente et elle me le revaudra un jour ! C'était une bonne soirée...
Ikasi eta irauli. SOIREE PATXOKI
Travailler comme barman c'est pas mal :)
Travailler comme barman c'est pas mal :)
Samedi 4 avril 2009 à 19:50
Arrêtez-vous à l'image.
Ce sera toujours plus intéressant.
Ce sera toujours plus intéressant.
Après un bref passage de calme, ça revient. Comment définir ça ?
Eh bien un moment de démence, des moments de colère, de rage, des crises de nerfs, des envies de meurtres ou des moments d'angoisses, des moments de blues et de profonde tristesse, une sorte de blocage cérébral, une permanente lutte psychologique qui frôle la schizophrénie. La lassitude, les prises de tête, les trop longues réflexions qui me semblent malheureusement inévitables, et l'absence de mots pour expliquer ça... Parfois on dit que ça peut aller mieux quand on en parle mais je n'ai ni la force ni l'envie de parler. Je suis dégoutée et tellement déçue que je n'ai plus envie de connaître qui que ce soit, plus la force d'être aimable, de faire des efforts, de parler, d'écouter, d'expliquer... J'en ai marre des gens et ça ne fait qu'empirer. Plus j'écoute et plus je trouve que ça sonne faux ; à quoi bon se fatiguer à trouver des choses qu'on aime chez les gens si c'est pour se rendre compte que tout ce qu'on voit est calculé ? On reste obnubilé par les défauts, on les voit comme le nez au milieu de la figure, à tel point que ça en devient risible.
Ça me fait rire autant que ça me saoule de voir ces gens profondément faux-cul, d'entendre ces rires insupportables, ces gloussements, ces cris, de voir ces sourires hypocrites et tellement faux. Ça me saoule de tout le temps me remettre en question alors que ça devrait être aux autres de le faire, d'être trop gentille avec des gens qui ne le méritent pas, de décevoir des gens et de m'en vouloir pendant des jours sans réussir à m'excuser. Ça me saoule quand mon ordi rame, ça me saoule quand je vois que mes plans tombent tous en même temps (et ça me fatigue de devoir choisir), ça me saoule de recevoir 40 pubs dans ma boîte mail quand je rentre chez moi le week-end ; d'ailleurs ça me saoule de rentrer chez moi le week-end. J'ai envie de casser la gueule à toutes ces pinbèches à frange en carton, de déambuler dans les rues complètement ivre, de courir pendant des jours sans être fatiguée, d'aller danser à Dance Crew USA, de nager à 20 mètres d'une baleine, de vivre comme dans Chat noir, chat blanc de Kusturica, de ne plus me poser de question et de profiter de la vie, d'être déjà à Xarnegu Eguna, Herri Urrats, EHZ et à cet été... J'ai envie d'être immortelle, mais juste pour une nuit.
Eh bien un moment de démence, des moments de colère, de rage, des crises de nerfs, des envies de meurtres ou des moments d'angoisses, des moments de blues et de profonde tristesse, une sorte de blocage cérébral, une permanente lutte psychologique qui frôle la schizophrénie. La lassitude, les prises de tête, les trop longues réflexions qui me semblent malheureusement inévitables, et l'absence de mots pour expliquer ça... Parfois on dit que ça peut aller mieux quand on en parle mais je n'ai ni la force ni l'envie de parler. Je suis dégoutée et tellement déçue que je n'ai plus envie de connaître qui que ce soit, plus la force d'être aimable, de faire des efforts, de parler, d'écouter, d'expliquer... J'en ai marre des gens et ça ne fait qu'empirer. Plus j'écoute et plus je trouve que ça sonne faux ; à quoi bon se fatiguer à trouver des choses qu'on aime chez les gens si c'est pour se rendre compte que tout ce qu'on voit est calculé ? On reste obnubilé par les défauts, on les voit comme le nez au milieu de la figure, à tel point que ça en devient risible.
Ça me fait rire autant que ça me saoule de voir ces gens profondément faux-cul, d'entendre ces rires insupportables, ces gloussements, ces cris, de voir ces sourires hypocrites et tellement faux. Ça me saoule de tout le temps me remettre en question alors que ça devrait être aux autres de le faire, d'être trop gentille avec des gens qui ne le méritent pas, de décevoir des gens et de m'en vouloir pendant des jours sans réussir à m'excuser. Ça me saoule quand mon ordi rame, ça me saoule quand je vois que mes plans tombent tous en même temps (et ça me fatigue de devoir choisir), ça me saoule de recevoir 40 pubs dans ma boîte mail quand je rentre chez moi le week-end ; d'ailleurs ça me saoule de rentrer chez moi le week-end. J'ai envie de casser la gueule à toutes ces pinbèches à frange en carton, de déambuler dans les rues complètement ivre, de courir pendant des jours sans être fatiguée, d'aller danser à Dance Crew USA, de nager à 20 mètres d'une baleine, de vivre comme dans Chat noir, chat blanc de Kusturica, de ne plus me poser de question et de profiter de la vie, d'être déjà à Xarnegu Eguna, Herri Urrats, EHZ et à cet été... J'ai envie d'être immortelle, mais juste pour une nuit.
J'aimerais pouvoir faire sortir tout ce qui brouille mon esprit. Claustrophobe ?
Dimanche 1er février 2009 à 19:13
► Rééh commence à s'essoufler. ll
Parce qu'y a trop de trucs à penser, trop de décisions à prendre, trop de choses à faire, à voir, à savoir, à revoir, à prévoir... Et si peu de temps pour tout ça. Relâcher la pression ? Peut-être plus tard.
Photo du dessin que j'ai fait pendant la panne de courant et d'eau samedi matin... et que j'ai gardé jusqu'à lundi :)