Arrêtez-vous à l'image.
Ce sera toujours plus intéressant.
Ce sera toujours plus intéressant.
Après un bref passage de calme, ça revient. Comment définir ça ?
Eh bien un moment de démence, des moments de colère, de rage, des crises de nerfs, des envies de meurtres ou des moments d'angoisses, des moments de blues et de profonde tristesse, une sorte de blocage cérébral, une permanente lutte psychologique qui frôle la schizophrénie. La lassitude, les prises de tête, les trop longues réflexions qui me semblent malheureusement inévitables, et l'absence de mots pour expliquer ça... Parfois on dit que ça peut aller mieux quand on en parle mais je n'ai ni la force ni l'envie de parler. Je suis dégoutée et tellement déçue que je n'ai plus envie de connaître qui que ce soit, plus la force d'être aimable, de faire des efforts, de parler, d'écouter, d'expliquer... J'en ai marre des gens et ça ne fait qu'empirer. Plus j'écoute et plus je trouve que ça sonne faux ; à quoi bon se fatiguer à trouver des choses qu'on aime chez les gens si c'est pour se rendre compte que tout ce qu'on voit est calculé ? On reste obnubilé par les défauts, on les voit comme le nez au milieu de la figure, à tel point que ça en devient risible.
Ça me fait rire autant que ça me saoule de voir ces gens profondément faux-cul, d'entendre ces rires insupportables, ces gloussements, ces cris, de voir ces sourires hypocrites et tellement faux. Ça me saoule de tout le temps me remettre en question alors que ça devrait être aux autres de le faire, d'être trop gentille avec des gens qui ne le méritent pas, de décevoir des gens et de m'en vouloir pendant des jours sans réussir à m'excuser. Ça me saoule quand mon ordi rame, ça me saoule quand je vois que mes plans tombent tous en même temps (et ça me fatigue de devoir choisir), ça me saoule de recevoir 40 pubs dans ma boîte mail quand je rentre chez moi le week-end ; d'ailleurs ça me saoule de rentrer chez moi le week-end. J'ai envie de casser la gueule à toutes ces pinbèches à frange en carton, de déambuler dans les rues complètement ivre, de courir pendant des jours sans être fatiguée, d'aller danser à Dance Crew USA, de nager à 20 mètres d'une baleine, de vivre comme dans Chat noir, chat blanc de Kusturica, de ne plus me poser de question et de profiter de la vie, d'être déjà à Xarnegu Eguna, Herri Urrats, EHZ et à cet été... J'ai envie d'être immortelle, mais juste pour une nuit.
Eh bien un moment de démence, des moments de colère, de rage, des crises de nerfs, des envies de meurtres ou des moments d'angoisses, des moments de blues et de profonde tristesse, une sorte de blocage cérébral, une permanente lutte psychologique qui frôle la schizophrénie. La lassitude, les prises de tête, les trop longues réflexions qui me semblent malheureusement inévitables, et l'absence de mots pour expliquer ça... Parfois on dit que ça peut aller mieux quand on en parle mais je n'ai ni la force ni l'envie de parler. Je suis dégoutée et tellement déçue que je n'ai plus envie de connaître qui que ce soit, plus la force d'être aimable, de faire des efforts, de parler, d'écouter, d'expliquer... J'en ai marre des gens et ça ne fait qu'empirer. Plus j'écoute et plus je trouve que ça sonne faux ; à quoi bon se fatiguer à trouver des choses qu'on aime chez les gens si c'est pour se rendre compte que tout ce qu'on voit est calculé ? On reste obnubilé par les défauts, on les voit comme le nez au milieu de la figure, à tel point que ça en devient risible.
Ça me fait rire autant que ça me saoule de voir ces gens profondément faux-cul, d'entendre ces rires insupportables, ces gloussements, ces cris, de voir ces sourires hypocrites et tellement faux. Ça me saoule de tout le temps me remettre en question alors que ça devrait être aux autres de le faire, d'être trop gentille avec des gens qui ne le méritent pas, de décevoir des gens et de m'en vouloir pendant des jours sans réussir à m'excuser. Ça me saoule quand mon ordi rame, ça me saoule quand je vois que mes plans tombent tous en même temps (et ça me fatigue de devoir choisir), ça me saoule de recevoir 40 pubs dans ma boîte mail quand je rentre chez moi le week-end ; d'ailleurs ça me saoule de rentrer chez moi le week-end. J'ai envie de casser la gueule à toutes ces pinbèches à frange en carton, de déambuler dans les rues complètement ivre, de courir pendant des jours sans être fatiguée, d'aller danser à Dance Crew USA, de nager à 20 mètres d'une baleine, de vivre comme dans Chat noir, chat blanc de Kusturica, de ne plus me poser de question et de profiter de la vie, d'être déjà à Xarnegu Eguna, Herri Urrats, EHZ et à cet été... J'ai envie d'être immortelle, mais juste pour une nuit.
J'aimerais pouvoir faire sortir tout ce qui brouille mon esprit. Claustrophobe ?
:D